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Commentaires
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Posté le 28/09/2017 à 21:19:01
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Ici, vous pouvez a tout moment poster vos delires de langages. Ces colonnes et ces lignes sont ouvertes a tous, pour ecrire n'importe quoi. Vous vous retrouvez solitaire sur le site et avez envie de soliloquer, de parler seul, d'ecrire plutot : venez ici ! |
jacou  |
Posté le 28/09/2017 à 21:20:16
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Quelle somptueuse idee !!! |
Comtedesaintgermain  |
Posté le 28/09/2017 à 21:21:05
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C'est un signe d'apaisement. |
| Comtedesaintgermain |
Posté le 28/09/2017 à 21:22:21
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A quand le Vous voulez et le Ils veulent ? |
| Comtedesaintgermain |
Posté le 28/09/2017 à 21:22:35
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Ces accents m'enquiquinent a la fin ! Leur absence rend la lecture plus difficile, mais surtout l'ecriture moins naturelle. J'ai ecrit un poeme aujourd'hui. Il n'y a pas grand monde ce soir... Ceci ressemble a un bloc-notes ; ecrivons des vers plutot, ou de courtes sentences pas piquees des hannetons. Genre : le fond de l'air effraie l'effraie. |
| jacou |
Posté le 28/09/2017 à 21:23:14
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Et le Elles veulent car ce que veut femme l'obtient. |
| Comtedesaintgermain |
Posté le 28/09/2017 à 21:24:11
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Vous degainez plus vite que votre ombre, comte Lucky Luke. Ce que femme veut, elle l'obtient toujours, c'est vrai. |
| jacou |
Posté le 28/09/2017 à 21:26:11
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Je suis au ralenti. |
| Comtedesaintgermain |
Posté le 29/09/2017 à 08:48:53
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Restez au ralenti, comte de saint-nectaire. Personnellement, je vais pousser le turbo. Un bon vendredi 29 de la fin septembre s'avance sur ses pas de velours, un vendredi un peu emprunte comme tous les vendredis qui craignent le week-end... |
| jacou |
Posté le 29/09/2017 à 09:22:23
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merci jacou |
marinette  |
Posté le 29/09/2017 à 15:31:24
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Mal de tete, rend perilleuse l'ecriture d'un poeme espere : je le remets a plus tard. Pourtant, les idees sommeillent en la tete, pretes a se devider sur l'ecran par le biais du clavier. Je suis passe en un mois de l'ecriture sur papier a l'ecriture directe au clavier, c'est tellement plus simple et rapide. |
| jacou |
Posté le 29/09/2017 à 16:33:52
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Femme de papier Suis une femme de papier De celui dont on fait les arbres Et j ai puise a leur aubier Et mange leurs feuilles vivantes Arrache l ecorce du fut Pour tenir debout a ma table l hiver sur du papier glace Je laisse mes traces effacables La seve qui coule des doigts Trace des mots sans importance Je flotte au vent car mes racines Courent a peine sous le sable Suis une femme de papier Qui se froisse a moindre risee Qui brule a petite flambe Dans un foyer desaffecte Mais si l oiseau a ma fenetre Vient poser une plume blanche Je sens mes folioles renaitre Et la plante a mon encrier Je partirai sur une branche Emportee par nuit sans etoile Et vous dirai dans mon absence Ce que j ai laisse sur la toile. 27 octobre 2010- 20h |
| marinette |
Posté le 29/09/2017 à 19:32:53
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Tu es une veritable riviere de poesie, Marinette, un torrent descendu des montagnes afin de nous abreuver d'une fraiche lampee poetique. Que j'aime ces vers supra ! |
| jacou |
Posté le 30/09/2017 à 09:58:06
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merci jacou |
| marinette |
Posté le 10/04/2018 à 15:57:08
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Ce jeu de miroir est une superposition d'images ... comme des ombres noires et blanches revenues de l'enfance |
| Yuba |
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