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Commentaires
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Posté le 25/08/2019 à 07:14:36
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Wandering shades...de vils vers luiseurs sont points de fusion copulent les electrons phosphore.. rêvent limaille de night oraison du silver butturfly,star des buissons... |
Aria  |
Posté le 25/08/2019 à 10:06:59
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Des étincelles en poussières Saupoudrant les nids retrouvés Lorsque se réveillent dans le ralenti Les nerfs d'un vent frais Qui dit :se lever et marcher Les roches soulever Pour dessiner les autres portes A ouvrir dans le ciel Des rêves suspendus ... Sur les quatrains ramenés Du désert infini... |
| Yuba |
Posté le 25/08/2019 à 18:22:27
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l'insecte éternel de nos vies un scarabée coriace, notre instinct de survie qui surgit du pierrier des épreuves traverse avec nous les déserts disparait quand on a fait peau neuve |
| Aria |
Posté le 26/08/2019 à 00:16:25
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On a fait peau neuve et sucré le dessert Où l'absence d'un des nôtres s'est ressentie La mort tel un arbre l'ayant ployé trop bas Lui courbant l'échine le tua en partie Car il reste vivant dans nos débats Et lors le soleil se hausse |
jacou  |
Posté le 26/08/2019 à 03:24:56
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Le soleil se hausse sur la nuit noire, quand drossés sur les écueils, survivants rescapés du deuil, l'impalpable présence de l'ange, nous demande de vivre sans oublier l'aimé parti juste de l'autre coté... |
| Aria |
Posté le 26/08/2019 à 08:15:29
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simplement passé de l'autre coté il vibre sur d'autres fréquences évolue sur d' autres plans.. dans l'amour et le silence on peut l' atteindre parfois .. mais il ne faut pas trop pleurer, ça lui coupe les ailes.. |
| Aria |
Posté le 26/08/2019 à 11:19:01
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L'artifice du ciel ne raconte rien Du secret de ceux partis Avant l'heure ou à peu près Mais invite à fêter la vie Dans la seule vérité écrite Sur les lignes d'une main : Ici et maintenant ... En pliant de nuit le tissu d'existence et dépliant ses couleurs...à l'allure de l'aube |
| Yuba |
Posté le 26/08/2019 à 22:18:42
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Sans main à tenir mais tout à maintenir Qui désormais s'enfuit dans les trous de ver De la mémoire pour un voyage mirifique Aux origines du vivant oublieux Des choses exquises Qui lui passèrent par la tête Et demeurent poussières Dans nos anciennes demeures |
| jacou |
Posté le 27/08/2019 à 06:26:25
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Dans nos anciennes demeures un autre bonheur de vie champignonnière nous poussait dans le coeur.. la vie turbulente y jouait bruyamment et l'Amour qu'on enfante traversait tous les pans ... |
| Aria |
Posté le 27/08/2019 à 09:19:31
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De lentes inquiétudes si nos bras, à bercer n'ont qu'illusions mortes.. au soleil couchant déjà bas présent, futur , au passé vivant s'avortent. |
| Aria |
Posté le 27/08/2019 à 11:34:03
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Un sens du passé qui est très fort Plus fort de ses réminiscences Que les parfums actuels ... Quand elles bousculent De leur humeur vagabonde Sur un terrain que nous croyons inconnu Et qui s'avère avoir toujours été Quelque part ...Notre |
| Yuba |
Posté le 27/08/2019 à 19:41:07
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Quelque part, ça a toujours été Constant dans nos vies fluettes Cette basse continue du Temps Qui tout emporte en nuées de nuit Et projette au tourbillon du néant Dans l'opacité des ténèbres Où je nous vois constamment remués Entre nos planches fines Temps armoire des souvenirs morts |
| jacou |
Posté le 28/08/2019 à 14:12:43
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dans les décombres s'archivent au ventre des déchets toxiques à revendre. blessures d'amour au mésentère bouchonnent, s'agrègent et prolifèrent tandis que reliefs d'antique névrose aux volvulus préparent sténose.. |
| Aria |
Posté le 28/08/2019 à 16:12:13
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Se préparent déjà à la sténose Tous les bateaux ivres A s'évacuer du col des bouteilles ... Jetées dans les océans poubelles Rétrécis par la taille des mers La désintégration des roches noires Et la rupture d'un pont Sur une route enfermée par une clé incertaine ... |
| Yuba |
Posté le 29/08/2019 à 13:45:13
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L'inaccessible étoile...à la poursuite du bonheur.. au tréfonds de soi même,réaliser son thème.. explorer les chemins..tracer sa route.. provoquer le destin, croire en ses rêves.. |
| Aria |
Posté le 29/08/2019 à 20:50:47
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Provoquer le destin, croire en ses rêves Est faire sa demeure en poète Telle qu'il n'est pas plus opiniâtre Que celle ou celui qui borde les nuits Dans les draps de satin du souvenir Brodés de cette catastrophe Nommée théorie du chaos Rampant au centre de toute infinitude |
| jacou |
Posté le 29/08/2019 à 22:38:38
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Rampant au centre de toute infinitude Se ramifiant dans les méandres du cosmos Et nous sommes spectateurs de leur jeu infernal Complètement centré sur ses contraintes En parfait équilibre Entre le pire et le meilleur |
| Yuba |
Posté le 30/08/2019 à 09:29:22
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Je trie la boue et la poussière d'étoiles je me construis au bien et me déchire au mal entre l'animal et Dieu je m'écartèle mon combat est tragique de condition duelle l'instinct, l'idéal sont mes deux pieds et mes yeux creusent le ciel d'éternité.. je suis .l'homme.. |
| Aria |
Posté le 30/08/2019 à 14:28:19
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La Grande Ourse bouleversée chantait fugue au feu soleil l'astre farouche déjà fui.. Elle attendait en tendre appareil en robe longue, oblongue alanguie jalousie de lune en veille... |
| Aria |
Posté le 31/08/2019 à 06:46:37
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Dans ses marées elle suspend de ses apnées l'eau , les lumières détient la nuit maintient le vent, souffle ses humeurs millénaires affriolante de teint vermeil aux sols elle use de reflets dorés pareils à effilochée de méduses |
| Aria |
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