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» Délires et Jeux » Un poème qui n'en finit pas
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Posté le 30/03/2014 à 19:44:41
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... |
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Amicalmentvotre |
Posté le 31/03/2014 à 22:07:50
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami |
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Reverbererouge |
Posté le 01/04/2014 à 20:09:54
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée.. Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue. "Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière |
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Amicalmentvotre |
Posté le 02/04/2014 à 23:25:52
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée.. Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue. "Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière Le Charmant conclut de cette pensée Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée. Quand soudain un remord rongeur l'agrippa |
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Reverbererouge |
Posté le 03/04/2014 à 21:22:56
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée.. Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue. "Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière Le Charmant conclut de cette pensée Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée. Quand soudain un remord rongeur l'agrippa. Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"... Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille, SA voix, et en son fort lui retenti ce cri... ABRUTIS!!!!!! |
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Amicalmentvotre |
Posté le 04/04/2014 à 20:11:53
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée.. Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue. "Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière Le Charmant conclut de cette pensée Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée. Quand soudain un remord rongeur l'agrippa. Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"... Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille, SA voix, et en son fort lui retenti ce cri... ABRUTIS!!!!!! Abrutis Vois ta belle là qui gît Et toi ahuri ! égoïste , irréfléchi! Retourne donc sur tes pas ! sauve là, Aurais tu perdu tes cognitions à penser qu'à toi pauvre moussaillon ? |
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Reverbererouge |
Posté le 04/04/2014 à 23:23:26
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée.. Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue. "Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière Le Charmant conclut de cette pensée Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée. Quand soudain un remord rongeur l'agrippa. Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"... Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille, SA voix, et en son fort lui retenti ce cri... ABRUTIS!!!!!! Abrutis Vois ta belle là qui gît Et toi ahuri ! égoïste , irréfléchi! Retourne donc sur tes pas ! sauve là, Aurais tu perdu tes cognitions à penser qu'à toi pauvre moussaillon ? Alors sans attendre, il se mit à courir... D'ailleurs il court encore.... Et derrière lui sa dulciné. Ils coururent heureux et n'eurent jamais d'enfants.... |
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Amicalmentvotre |
Posté le 04/04/2014 à 23:34:07
je vous laisse chère Reverbererouge le libre choix d'une autre introduction ou alors d'un rebondissement des plus étonnant!!! | |
Amicalmentvotre |
Posté le 04/04/2014 à 23:58:06
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière Bonheur de toute une fourmilière. Mais malheur à celui qui y jeta le pied, Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée. Triste jour, la voilà maintenant bien avancée, Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée. Les relents de caoutchouc aux nez, acidité. Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées Plus que la semelle se mit à brûler. Cela finit par la faire cauchemarder. Agacée par la chose sous des airs benoîts Elle avait hélas du mal à marcher tout droit. Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler. Elle entreprit alors une lutte Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna Le gauche, agard, sali, chez lui rentra Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha Comme un boulet déboula du haut de la colline Comme une marionnette inarticulée tomba Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée, Les yeux perdu vers l'espérance, Soudain d'éclairs se remplirent. Pas de prince, pas de cheval blanc, Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend (jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire) D'abord méfiante, elle réfléchit Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit. Puis se dit Ma situation ne me permets pas tous ces chichis La réflection faite, vint de tendre sa main. Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali. Ferme, chaude, puissante et douce à la fois, Telle était cette main salvatrice. Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien, Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible. "Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!" Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" .... Dans son état évanoui, elle se dit Que finalement, Crier comme ça, avec trop d'entrain, Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée.. Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue. "Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière Le Charmant conclut de cette pensée Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée. Quand soudain un remord rongeur l'agrippa. Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"... Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille, SA voix, et en son fort lui retenti ce cri... ABRUTIS!!!!!! Abrutis Vois ta belle là qui gît Et toi ahuri ! égoïste , irréfléchi! Retourne donc sur tes pas ! sauve là, Aurais tu perdu tes cognitions à penser qu'à toi pauvre moussaillon ? Alors sans attendre, il se mit à courir... D'ailleurs il court encore.... Et derrière lui sa dulciné. Ils coururent heureux et n'eurent jamais d'enfants... C'est ainsi que gaiement, l'un derrière l'autre ils galopaient. Le prince de liberté altéré poursuivi par sa belle défigurée. Quand soudain dans un foudroyant éclair, le tonnerre calfeutra L'esprit de l'épigone dans la nouvelle chair de l'ingrat. Fin. à vous donc de lancer une introduction |
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Reverbererouge |
Posté le 05/04/2014 à 00:05:36
(sourire) Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années |
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Amicalmentvotre |
Posté le 08/04/2014 à 22:30:29
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir |
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Amicalmentvotre |
Posté le 09/04/2014 à 18:29:35
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, |
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Reverbererouge |
Posté le 10/04/2014 à 00:15:04
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café |
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Amicalmentvotre |
Posté le 12/04/2014 à 00:57:41
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... |
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Lucyline |
Posté le 12/04/2014 à 23:41:23
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde |
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Amicalmentvotre |
Posté le 13/04/2014 à 23:00:14
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, |
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Amicalmentvotre |
Posté le 14/04/2014 à 17:17:11
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. |
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scyles |
Posté le 14/04/2014 à 19:42:37
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peut à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand Mère |
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Amicalmentvotre |
Posté le 16/04/2014 à 15:24:21
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peut à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand Mère Sa peau ridée douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée |
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Reverbererouge |
Posté le 17/04/2014 à 23:16:31
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années Je n'étais encore qu'un gamin, Les yeux remplis d'espoir J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin, L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs Sentaient la suie, la soupe,et le bon café Odeurs qui me hantent encore, parfois... Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes, Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus, Marri je m'en retourne en cet heureux oubli, C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus, Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit. Peut à peu, monte en moi cette force héréditaire, Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand Mère Sa peau ridée douce comme l'oreiller Chaud du matin sur la joue reposée Me rappel les moments partagés, là assis à l écouter parler De sa vie, ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf volant |
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Amicalmentvotre |
Commentaires
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