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Posté le 30/03/2014 à 19:44:41
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....
Amicalmentvotre
Posté le 31/03/2014 à 22:07:50
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Reverbererouge
Posté le 01/04/2014 à 20:09:54
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée..
Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue.
"Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière
Amicalmentvotre
Posté le 02/04/2014 à 23:25:52
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée..
Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue.
"Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière

Le Charmant conclut de cette pensée
Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée.
Quand soudain un remord rongeur l'agrippa
Reverbererouge
Posté le 03/04/2014 à 21:22:56
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée..
Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue.
"Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière

Le Charmant conclut de cette pensée
Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée.
Quand soudain un remord rongeur l'agrippa.
Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"...
Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille,
SA voix, et en son fort lui retenti ce cri...
ABRUTIS!!!!!!
Amicalmentvotre
Posté le 04/04/2014 à 20:11:53
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée..
Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue.
"Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière

Le Charmant conclut de cette pensée
Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée.
Quand soudain un remord rongeur l'agrippa.
Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"...
Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille,
SA voix, et en son fort lui retenti ce cri...
ABRUTIS!!!!!!

Abrutis Vois ta belle là qui gît
Et toi ahuri ! égoïste , irréfléchi!
Retourne donc sur tes pas ! sauve là,
Aurais tu perdu tes cognitions à penser qu'à toi pauvre moussaillon ?
Reverbererouge
Posté le 04/04/2014 à 23:23:26
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée..
Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue.
"Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière

Le Charmant conclut de cette pensée
Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée.
Quand soudain un remord rongeur l'agrippa.
Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"...
Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille,
SA voix, et en son fort lui retenti ce cri...
ABRUTIS!!!!!!

Abrutis Vois ta belle là qui gît
Et toi ahuri ! égoïste , irréfléchi!
Retourne donc sur tes pas ! sauve là,
Aurais tu perdu tes cognitions à penser qu'à toi pauvre moussaillon ?

Alors sans attendre, il se mit à courir...
D'ailleurs il court encore....
Et derrière lui sa dulciné.
Ils coururent heureux et n'eurent jamais d'enfants....
Amicalmentvotre
Posté le 04/04/2014 à 23:34:07
je vous laisse chère Reverbererouge le libre choix d'une autre introduction ou alors d'un rebondissement des plus étonnant!!!
Amicalmentvotre
Posté le 04/04/2014 à 23:58:06
D'un chewing-gum, en le crachant il fit d'une ouvrière
Bonheur de toute une fourmilière.
Mais malheur à celui qui y jeta le pied,
Car d'un coup sa chaussure s'est trouvée usée.
Triste jour, la voilà maintenant bien avancée,
Avec, sur sa chausse, une feuille a ce chewing-gum collée.
Les relents de caoutchouc aux nez, acidité.
Et sur le papier, outre l'encré échouée, des milliers
Des démêlés, des combattantes, mandibules incrustées
Plus que la semelle se mit à brûler.
Cela finit par la faire cauchemarder.
Agacée par la chose sous des airs benoîts
Elle avait hélas du mal à marcher tout droit.
Et son pied gauche n'arrivait plus à s'envoler.

Elle entreprit alors une lutte
Son pied droit seul dans cette quête l'accompagna
Le gauche, agard, sali, chez lui rentra
Droit et solitaire, son unique sabot monta la sombre butte
Ainsi équilibriste elle atteignait enfin son but
Quand de dérapage en bout de colle elle trébucha

Comme un boulet déboula du haut de la colline
Comme une marionnette inarticulée tomba
Elle espérait qu'en bas un prince sauveteur l'attendat
Mais celui ci fuit à la vue de la triste glissante mine

Alors, gisante, d'herbe et de terre récoltées au détour de cette dégringolée,
Les yeux perdu vers l'espérance,
Soudain d'éclairs se remplirent.
Pas de prince, pas de cheval blanc,
Mais tout prés d'elle, là, lentement, une main pour elle se tend

(jaime beaucoup les différentes drôles tournures que prend notre histoire)

D'abord méfiante, elle réfléchit
Aux avantages et inconvénients si cette main elle saisit.
Puis se dit
Ma situation ne me permets pas tous ces chichis
La réflection faite, vint de tendre sa main.
Alors, quelque peut hésitante, elle hissa sa main au dessus de son corps meurtri, sali.
Ferme, chaude, puissante et douce à la fois,
Telle était cette main salvatrice.
Comme une force surhumaine qui lui donnerai d'être ; à la plume semblable; légère

Elle s'imagina alors l'être qui pourrait se trouver au bout de cette main
Mais que fût grande sa surprise qu'il n'y avait au bout en fait rien,
Un vide, juste une main flottante dans les airs, puis une déception ... terrible
Mais la main virevolta et apparu un homme, débarrassé d'un maléfice qui le rendait invisible.
"Enfin!!!!" s'écria l'ex courant d'air,"me voici de chair!!!"
Dans un élan de stupeur émerveillée, la demoiselle s'exclama sans retenues : "AAAAAAAAHHHHHHH v'là t'y pas mon prince!!!" et sitôt s'évanouit, laissant dans sa relâche, s'échapper un "vent de mauvais aloi" ....

Dans son état évanoui, elle se dit
Que finalement,
Crier comme ça, avec trop d'entrain,
Peut être ferait fuir son nouvel consolidé ami
Notre"Reine" ainsi échouée, dans ses songes restait plongée..
Tandis que le "prince Charmant" lui commençait à se demander si; bien que reconnaissant d'être Chair à nouveau; cette donselle valait d être à nouveau secourue.
"Charmant" ce faisant, regardais de plus près cette chère chair couchée à ses pieds, alors sentant sa chère chair lui rappeler que lointain été le temps de sa dernière

Le Charmant conclut de cette pensée
Qu'il allait laisser sa chère dans sa chair ainsi couchée. Il la cacha et parti se déhancher, cherchant à choyer sa nouvelle chair oubliée.
Quand soudain un remord rongeur l'agrippa.
Se fixa un instant, là, droit comme un I, réfléchi, tergiverse,puis d'un pas certain continua son chemin, laissant au loin "sa belle"...
Alors qu'il allait à grands pas, une voix se fit entendre, à nulle autre pareille,
SA voix, et en son fort lui retenti ce cri...
ABRUTIS!!!!!!

Abrutis Vois ta belle là qui gît
Et toi ahuri ! égoïste , irréfléchi!
Retourne donc sur tes pas ! sauve là,
Aurais tu perdu tes cognitions à penser qu'à toi pauvre moussaillon ?

Alors sans attendre, il se mit à courir...
D'ailleurs il court encore....
Et derrière lui sa dulciné.
Ils coururent heureux et n'eurent jamais d'enfants...

C'est ainsi que gaiement, l'un derrière l'autre ils galopaient.
Le prince de liberté altéré poursuivi par sa belle défigurée.
Quand soudain dans un foudroyant éclair, le tonnerre calfeutra
L'esprit de l'épigone dans la nouvelle chair de l'ingrat.

Fin. à vous donc de lancer une introduction
Reverbererouge
Posté le 05/04/2014 à 00:05:36
(sourire)

Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Amicalmentvotre
Posté le 08/04/2014 à 22:30:29
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
Amicalmentvotre
Posté le 09/04/2014 à 18:29:35
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
Reverbererouge
Posté le 10/04/2014 à 00:15:04
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Amicalmentvotre
Posté le 12/04/2014 à 00:57:41
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...
Lucyline
Posté le 12/04/2014 à 23:41:23
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...

Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde
Amicalmentvotre
Posté le 13/04/2014 à 23:00:14
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...

Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde
Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes,
Amicalmentvotre
Posté le 14/04/2014 à 17:17:11
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...

Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde
Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes,
Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus,
Marri je m'en retourne en cet heureux oubli,
C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus,
Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit.
scyles
Posté le 14/04/2014 à 19:42:37
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...

Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde
Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes,
Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus,
Marri je m'en retourne en cet heureux oubli,
C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus,
Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit.
Peut à peu, monte en moi cette force héréditaire,
Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand Mère
Amicalmentvotre
Posté le 16/04/2014 à 15:24:21
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...

Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde
Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes,
Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus,
Marri je m'en retourne en cet heureux oubli,
C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus,
Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit.
Peut à peu, monte en moi cette force héréditaire,
Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand Mère
Sa peau ridée douce comme l'oreiller
Chaud du matin sur la joue reposée
Reverbererouge
Posté le 17/04/2014 à 23:16:31
Oh, de mémoire, je dirais que cela faisait au moins une trentaine d'années
Je n'étais encore qu'un gamin,
Les yeux remplis d'espoir
J'écoutais les fables de ma grand mère ridée, rêve enfantin,
L'âtre paraissait immense, les parois noires des murs
Sentaient la suie, la soupe,et le bon café
Odeurs qui me hantent encore, parfois...

Lorsque les problèmes m'assaillent et que l'heure s'attarde
Quand la nuit me semble si noire, que les doutes m'enserrent de leur folies nocturnes,
Que l'angoisse s'arrête en mon esprit perclus,
Marri je m'en retourne en cet heureux oubli,
C'est alors que vainqueur, en mon esprit reclus,
Je nargue les tourments : l'angoisse s'affaiblit.
Peut à peu, monte en moi cette force héréditaire,
Cette douce et paisible puissance qui habitait Grand Mère
Sa peau ridée douce comme l'oreiller
Chaud du matin sur la joue reposée
Me rappel les moments partagés, là assis à l écouter parler
De sa vie, ses souvenirs, ses amours de princesse et de cerf volant
Amicalmentvotre
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26/03 10:53Alphaesia
Merci Sarahg, bonne semaine à vous...
24/03 10:24Sarahg
Bonne semaine à venir à tous et toutes !
24/03 10:23Sarahg
"Quand le destin de quelqu'un s'accomplit, il faut sourire."
21/03 06:35Lys-Clea
Et Bonsoir cher Cro ! :)
21/03 05:16Altair
Ne jamais oublier que le printemps amène les troubles sociaux, braves gens!
20/03 01:20Sarahg
Que ce Printemps soit synonyme de vie et de bonheur !
18/03 03:47Sarahg
"Etre dans le présent est la condition de la paix intérieure."
18/03 03:46Sarahg
Belle semaine à tous !
13/03 08:39Bleuet_pensif
Bonne journée à tous !... :)
09/03 05:43Lys-Clea
Merci avec Retard, cher Sylvain .. Amitié !
08/03 02:52Capucine
Merci pour cette pensée pour toutes les femmes
08/03 12:00Yuba
Merci Sylvain ...bonne fête à toutes les Dames du site.
08/03 06:17romantique
EN CETTE JOURNEE BONNE FETE A TOUTES LES FEMMES POUR TOUT CE QU ELLES APPORTENT A NOS EXISTENCES ET AU MONDE !!...:)
01/03 11:11Chrysantheme
Il leur faut valider ce chef d'oeuvre d'écriture !
01/03 11:11Chrysantheme
C'est aujourd'hui que mon oeuvre passe en commission de lecture
29/02 12:20CRO-MAGNON
Tu peux écrire tous les jours et tu te reposes à chaque 29 février
29/02 10:15Chrysantheme
Et c'est mal parti
29/02 10:14Chrysantheme
si j'écris pas aujourd'hui je loupe le coche pour 4 ans
24/02 06:41Ocelia
Où est Iloa Mys. Bises Iloa.
24/02 01:49Sarahg
Bon week-end à tous, que la paix accompagne vos pas.

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