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Dans ce monde maudit où, sans but, je me traîne,
J'attends la délivrance aux chemins sans retour,
Les torrents de la vie me poussent et m'entraînent,
J'y demeure isolé, sans amis alentours.
Aux portes du néant, je ne suis plus moi-même,
Le silence frémit d'indicibles douleurs
Et, dans le firmament, me jetant l'anathème,
La lune, me semant, avive ma rancœur.
Le vent, dans les bosquets, tire ma révérence,
Voici venu le temps de la fin qui commence ;
Au secret de la nuit, je me ferai lointain.
Déjà, sous les flambeaux, mes forces m'abandonnent,
Egaré, éperdu, aux ombres je me donne,
Mais, comme le Phénix, je renaîtrai demain.
Écrit par 1957
La poésie c'est comme le champagne, elle pétille dans mon âme
Catégorie : Divers
Publié le 04/07/2008
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Commentaires
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Posté le 04/07/2008 à 19:30:37
magnifique ! | |
kitkat |
Posté le 04/07/2008 à 20:49:43
Je n'avais encore jamais lu un de tes textes, mais je dois dire que c'est une très belle entrée en matière... Très jolie rythmique avec de belles pensées, j'aime beaucoup cette écriture simple. Merci encore Troubad. |
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Le troubadour |
Posté le 06/07/2008 à 08:08:40
Kitkat, Le Troubadour, merci à vous Poétiquement, |
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1957 |