Le rayon du soleil est pâle
Comme le fleuve
Qui s'enfuit
Comme la saison où s'envolent
Les pétales
Et les âmes meurtris
Cette saison lente et froide
Qui réveille
La peur et les cris
Vois comme le ciel s'agite
Que de l'arbre s'écoule
Le parfum d'une vie
Ce soleil qui d'un geste
Ranime les souvenirs
D'une mer au loin
Qui soupire
Et la pluie
Glissant sur les visages
Couleur noir infini
De nos sombres rivages
Écrit par Alexis
L'exactitude foncière de l'expression est la seule morale de l'écriture...
Catégorie : Triste
Publié le 03/10/2009
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Commentaires
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Posté le 03/10/2009 à 08:15:28
très beau ! | |
MARIE L. |
Posté le 03/10/2009 à 09:13:29
une merveilleuse sensation très beau ton poème je l'adore!!!amitié liconex | |
liconex |
Posté le 03/10/2009 à 09:41:03
Je dis comme les autres très beau poème | |
Iris |
Posté le 03/10/2009 à 10:36:07
douce sensation ! amitiés Louann |
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louann |
Posté le 04/10/2009 à 16:52:10
Magnifique Alexis.. | |
lo |
Posté le 04/10/2009 à 17:31:08
ben tout est dit ^^ l'automne frappe de sa froideur monotone et ouvre la page de ton écrit si joli :) | |
Miss'angel |
Posté le 12/10/2009 à 00:15:05
L'ambiance est posée et j'aime ton "vois". Yo. | |
Raphàailes |
Posté le 12/10/2009 à 07:23:54
Très joli et doux ce poème ! Amitié Iris |
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Iris |
Commentaires
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