Jamais Ô grand jamais
La confusion règna à ce point
Tuez-là s'il-vous-plait
Elle freine mes besoins
Les évènements se succèdent
Et ma tête me prend entre ses mains
Après tout je lui concède
Ma foi en la société du rien
Marginal comme un Neliggan
On ne voit en moi qu'un dément
Désespéré à enlaçer
Une mort digne d'un zap télé
Le temps file et défile
Avec ses acteurs et figurants
Ma conscience en fabulant
Et mon corps leurs sont serviles
Jamais Ô grand jamais
Ma tête m'échappera
Car je sais que je lui plaît
Et qu'elle me gardera.
 |
Écrit par Altair
Memento Mori Car Cette Plume de Sang Et De Larme Le Sait
Catégorie : Divers
Publié le 30/04/2014
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Divers à découvrir... | Poèmes de Altair au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 30/04/2014 à 02:42:31
 |
OH! TROP BIEN,,,,,, GOùTEUX ÉTRANGE À SOUHAIT FOLLE POÉSIE , DAME CHARMERESSE ! QUAND TU NOUS TIENS! |
flipote  |
Posté le 30/04/2014 à 02:43:30
|
MOI AUSSI , J'AIME NELLINGHAM |
| flipote |