De tes ailes cuivrées à la teinte si pâle,
Tu baises les nuages, un monde de coton,
Tu rejoins dans le ciel quelques petits moutons,
Et tu salues le Sol, du Japon au Népal.
Tu côtoies les étoiles, anneaux de rêves opales,
Sans te soucier d'en bas, qui te voient en photon :
Photon libre des lois, tête du peloton.
Ah ! Tu ris, et pour moi... Moi... C'est le principal.
Tu m'as aimé, un jour, et je t'en remercie,
Mais je suis lourd, trop lourd, je suis en inertie,
Et il est temps que, toi ! tu prennes ton envol.
Je souris pour ta course, à qui tu t'offres entière,
Et quand tu te poseras, dans ton grand cimetière,
Je boirai pour tes rêves un long verre d'alcool.
Écrit par Ao Umi
"Les mots se confondent en illusions, puis sont devenus plus qu'une passion."
Catégorie : Amour
Publié le 04/01/2017
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Commentaires
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Posté le 04/01/2017 à 10:05:18
Santé! A consommer avec modération... | |
suane |
Posté le 04/01/2017 à 12:10:02
C'est beau ! | |
Good Times Bad Times |
Posté le 04/01/2017 à 15:11:53
Merci ! :D | |
Ao Umi |
Posté le 04/01/2017 à 20:25:22
Que j'aime ce sonnet ! | |
jacou |
Posté le 04/01/2017 à 23:18:40
Merci jacou pour l'avoir lu et commenté ! :) | |
Ao Umi |