Quand je vois les larmes couler de tes yeux verts,
Je vois un éclat d'or, un éclat si amer
Que la grimace vient, toute seule, s'ajouter
A mon corps bien meurtri, à mon cœur achevé,
A mon âme déjà peinée par ces nuits
Sombres, froides et glaciales, qui figent mon esprit.
Quand je vois la douleur tordre tes traits si tendres,
Mon environnement, mon monde deviennent cendres.
Cendres volantes, toutes libres, vers d'autres horizons ;
Ne restait plus que moi. Moi et mes illusions.
Comme une vulgaire œuvre, je m'effrite sous le Temps ;
Je ne suis plus que peine, tes yeux me reflétant.
Écrit par Ao Umi
"Les mots se confondent en illusions, puis sont devenus plus qu'une passion."
Catégorie : Triste
Publié le 13/10/2015
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Ao Umi au hasard |
Commentaires
Annonces Google |