Je ne sais pas encore qui je suis,
Ni quand j'ai commencé à souffrir,
Je sais pourtant ce que tu as fui,
Et ce que tu as fini par m'offrir.
Tu es un jardin de poussière,
Ton beau port de tête altier,
Réajusté par un regard d'acier,
Projette rudement de la fierté.
Tu en mets plein les yeux,
Car tu sais comment faire,
Pour contourner les aveux,
Tu te contentes de plaire.
Et lorsque tu es embrassée,
La vérité dénudée apparaît,
Tu as peur de te sentir vunérable,
Toi, qui es en vérité si malléable.
Les cendres autour de nous,
Servent du plus noble terreau,
Notre amour à lui seul dénoue,
La trame de deux antihéros.
 |
Écrit par Apyrexie
L'espoir dans ma main droite, le passé dans ma main gauche. Puis tout au milieu, un cœur qui bat rien que pour elle.
Catégorie : Poésie
Publié le 17/07/2022
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Poésie à découvrir... | Poèmes de Apyrexie au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 17/07/2022 à 17:00:41
 |
Le titre résout les inéquations amoureuses. Au-delà de la souffrance, simplement. Beau poème. |
Comete  |
Posté le 17/07/2022 à 17:43:35
|
Merci pour ce retour si touchant, Comete. |
Apyrexie  |
Posté le 18/07/2022 à 05:28:18
 |
bonjour Apyrexie vos mots sont intenses et passionnés !j'ai apprécié ! en favori ! bonne journée! poétiquement :) |
| romantique |
Posté le 20/07/2022 à 07:42:49
 |
Votre poème m'a rappelé quelqu'un... Merci pour le partage |
Edelphe  |
Commentaires
| Annonces Google |