Je sais que, quelques fois, lorsque la soupe est lourde
Nous piquons tous les deux un petit roupillon
Si tu t'en aperçois tu te traites de gourde
De mon côté, vexé, je m'appelle couillon
C'est vrai que de nos jours tous ces films amerloques
Qui passent trop souvent deviennent ennuyeux
Au bout de quelques temps la paupière se bloque
Et le seize neuvième est offert à nos yeux
Sans vouloir à tout prix nous trouver une excuse
Il faut bien avouer que grande est la maison
La vie de campagnards, bien entendu, ça use
Le muscle souffre un peu, mais diable que c'est bon
Écrit par BABOUCHE
L’amour se goûte à deux la passion vous dévore
Catégorie : Amour
Publié le 19/12/2011
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Commentaires
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Posté le 19/12/2011 à 16:36:41
Une petite pause bien méritée pour reprendre vigueur. | |
TANGO |
Posté le 19/12/2011 à 17:09:28
dommage que je ne suis pas là à ce moment pour vous prendre en photo rien qu'à voir vos tronches avec des yeux en 16/9ème bisous le frangin loupy |
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loupy |
Posté le 19/12/2011 à 18:24:21
Excellent ! | |
Jerem |
Posté le 19/12/2011 à 18:43:27
Hihi, il m'arrive aussi de m'endormir devant la télé ... Tableau authentique, lu avec plaisir. Bises Babouche ! Ca faisait longtemps que je ne t'avais pas croisé. |
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Nighty |
Posté le 19/12/2011 à 23:11:46
Nighty tango jerem bonne soirée Loupy la frangine ne dépasse pas les 3h du matin après on a plus de mal à s'endormir |
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BABOUCHE |
Posté le 23/12/2011 à 00:47:10
Très rigolo babouche, ton poème m'a mis le sourire aux lèvres. merci | |
MarieVenture |
Commentaires
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