Cloîtré mais sauf, à l'abri du ciel en rancœur, aux odeurs d'un soir de pluie,
Perché aux tours illuminées d'une falaise du Cap Diamant, -un accordéon joua-
Là-haut, j'ai croisé l'œil heureux d'une amante des temps ou l'homme est recueilli
Ces soirs; quand le soleil est bas et que les amoureux sortent et se croisent les doigts.
Je t'ai regardé partir, marcher lentement, dans l'oraison de la tempête brève,
Les mains ouvertes, sereine, sous la pluie en voilages et le sourire aux lèvres.
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Commentaires
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Posté le 17/05/2015 à 13:34:40
Belle poésie. | |
eco-blanchiment |
Posté le 17/05/2015 à 17:59:31
Les vers sont beaux, très longs et l'on croirait qu'ils ne vont jamais prendre fin ! Bravo ! | |
jacou |