Et quand s'allongent les chansons, les nuits froides et cent cortèges...
Sous les dernières symphorines blanches,
Il faudra tendre l'oreille au bois d'orignaux et leurs arpèges...
Et le retour de tes lointains dimanches.
C'est...
Joindre les bouts de toutes mes joies et la fin des étés. Prélude à cette autre fin des temps.
C'est brûler la chandelle par le bout qui faut.
Mon âme pour six mois; ce voilier serein qui prie sur la rumeur contraire d'un vent,
La convergence des courants et le onzième de mes travaux.
Je pense à hier où mon corps s'est délivré comme un bouchon de liège.
Le sourire aux lèvres, j'épuise en douceur un thé qui s'appelle : jour de neige.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Evasion
Publié le 13/10/2020
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Evasion à découvrir... | Poèmes de Biron au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 14/10/2020 à 05:19:40
Très beau des symphorines et des bois d'orignaux j'avons point ça ici ah c'est vous Hercule il reste ici quelque travail pour les gros bras qui dorment ! |
|
justine |
Posté le 14/10/2020 à 12:41:07
Très beau ! Bravo et merci pour la lecture ! |
|
Yuba |
Posté le 14/10/2020 à 18:56:21
Bonsoir, Si l'Evasion est de s'endormir ainsi .. Très Beau ! LyS .. |
|
Lys-Clea |