Je suis perdu, aux rochers coupants de la montagne du sémaphore.
C'était sous les oripeaux ; c'était à l'époque d'un siècle hurleur.
Je suis d'un fleuve, du grand pays des chercheurs d'or !
Et meurt ici. Couché. Vous savez mourir a son odeur.
C'est dans mon estuaire de longs temps, sous l'anse des récollets,
Que j'expire aux fenêtres rouges : à l'âtre infect du lazaret.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 11/06/2015
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Commentaires
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Posté le 12/06/2015 à 00:04:05
J'aime beaucoup, en tant qu'adepte des textes cours | |
Valartisme |
Posté le 12/06/2015 à 15:07:15
J'aime le mystère que dégagent vos vers. | |
jacou |
Posté le 13/06/2015 à 20:30:19
J'ai lu sur ce lieu. | |
Intruder |
Posté le 14/06/2015 à 18:30:52
C'est intéressant, moi j'y travail cet été :) | |
Biron |
Posté le 14/06/2015 à 18:35:24
Vraiment? | |
Intruder |
Commentaires
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