À ces histoires d'amour; racontées bien appuyé contre une barre de ballet...
Hier c'eut été ma dernière arabesque
Le battement de la fin de ce livre
Quitter la scène sans réelles fresques
Elles sont belles, celles aux robes de cuivre
Mes amis, mes femmes éphémères
Entre mes doigts souvenirs, un lys de mer.
Au final c'est un triste adieu qui flotte
Dans les couloirs de ma vie, cette brise.
Parce qu'on sait, qu'un au revoir de lèche-botte
Ne tient pas. Au départ, ma vie était grise
La danse, ça avait ça de bon,
Je suis devenu quelqu'un d'un peu moins con…
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 16/05/2011
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Commentaires
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Posté le 16/05/2011 à 18:14:56
Bel hommage à la danse, à la vie de quelqu'un "d'un peu moins con". Pour dire cela tu n'as jamais du l'être. Merci pour ce beau poème. |
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Marouette |