Le temps de rentrer chez moi
De reprendre le train-train habituel
Traverser la campagne une énième fois
Dans une nuit sombre et cruelle
Elle n'hésita pas à dissimuler
De son drap noir pailleté
Le monde que nous sillonnions
J'y ai vu sans hésitation
Le rappel à la réalité
De la belle vie que je croyais
Ces bonheurs tels des lumières raréfiées
Un passé sombre pour les étouffer
Je contemple impuissant cette torture
Par la fenêtre, les larmes aux yeux
Durant ce périple long et dur
Avant de rejoindre les cieux
Écrit par Blugh
Les hommes ne voient pas ce qu'ils ne veulent pas voir.
Catégorie : Triste
Publié le 19/01/2014
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Commentaires
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Posté le 20/01/2014 à 07:20:10
J'avoue que je n'ai pas tout compris, mais le texte est pas mal. | |
Mistake |
Posté le 20/01/2014 à 11:15:48
Chère Mistake, merci pour ton avis sur mon poème ! Ici, je raconte ce que l'on voit par la fenêtre dans un train en pleine nuit (donc rien mis à part quelques lumières ) et comment je l'interprète, à savoir une image de mon passé : sombre avec quelques moments de bonheur. | |
Blugh |
Posté le 21/01/2014 à 21:47:54
oki | |
Mistake |