Il était un fois, l'histoire d'une cité suprême,
où seule la technologie régnait tel un blasphème,
La débauche et le luxe demeuraient être les lois,
car l'homme n'avait plus de croyances , ni de foi.
En ces temps immémoriaux, ce monde aller être dévasté,
par un monstre aux pouvoirs immenses que l'homme avait généré,
résultant de son orgeuil, de sa prétention,
et son insatiable soif de destruction.
Désormais ce monde ne sera plus,
anihilé à jamais de toutes vertues,
il fut réduit à néant en toute âme et conscience,
pour laisser un champs de ruines d'une vive incandescence.
Mille ans s'écoulèrent et la vie reprit sa place,
dans un nouveau temps, un nouvel espace,
un autre monde fut bâtit sur les ruines de l'ancien,
mais les ambitions n'avaient changé en rien.
Malgré le nombre incalculable de morts,
et les fondations construites sur les corps,
l'homme poursuivait son ascension,
vers l'ultime perversion.
L'effroyable monstre continuait à déferler,
tel une vague meurtrière affamée,
répendant le chaos et la souffrance,
désincfectant le monde de sa déchéance.
Mais bientôt les coeurs allaient changer radicalement,
pour renouer la paix avec Gaïa et ses enfants,
les hommes allaient comprendre la source de ce mal,
en s'investissant dans une lutte infernale.
Une quête contre la plus grande de leurs peurs,
responsable de tous ces malheurs.
C'est en acceptant leurs différences qu'ils commencèrent,
ce voyage pour le paradis ou l'enfer
Le long pélerinage les mènera dans des temples oubliés,
pour invoquer l'aide de Chimères immortalisées,
dans l'éther même, quintessence de toute vie,
d'où elle émerge dans l'espace infini.
C'est après maintes péripéties, complots et trahisons,
et armés de pouvoirs immenses, que sans prétention,
ils allaient mener leur ultime combat,
pour renaître de l'oubli et du trépas.
Dans une lutte acharnée, mêlant incantations et sorcellerie,
que l'immense ennemi des nations mourra dans la nuit,
se désintégrant en mille lumières,
emportant avec lui sa souffrance grégaire.
Désormais,
à jamais,
Ceux qui étaient plongés dans leurs rêves éternels,
connaissèrent enfin le paix inconditionelle,
la peine et le chagrin n'étaient plus,
d'amour et de joie les hommes étaient repus.
Les anciennes moeurs furent bannies,
la destruction perpétuelle, anéantie,
en eux jaillissaient le bonheur et l'espérance,
retrouvés en toute innocence.
La promesse d'un monde nouveau s'était propagée,
celle de l'union de la terre avec l'humanité,
ensemble, ils reconstruiront le monde de demain,
fondé sur l'amour fraternel et où règne le bien.
Écrit par Book Of Shadow
Je voudrai voir le monde dans un grain de sable, et le paradis dans une fleur sauvage, tenir l'infini dans la peaume de ma main et voir l'éternité durer une heure. W.Blake.
Catégorie : Triste
Publié le 18/06/2010
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Un beau rêve que je ne verrai pas . Je crois plutôt que l'homme détruira la planète et heureusement on ne sait pas quand ; mais ton poème est fondé sur l'espérance et c'est bien. | |
TANGO |
Gaïa souffre c'est sûr... L'homme créé, l'homme détruit, l'homme reconstruit... Des cycles de vie mêlés de bonheur, de souffrance, de combats et d'espérance... "Y croire encore"... malgré tout... Sincérement... C'est peut-être le plus important finalement... |
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Lucyline |
Magnifique écrit... | |
pichounne |
Je le mettrais en musique celui ci...un bon rap ! | |
Ys |