Voilà qu'elle passe, comme chaque matin,
Croisant son regard triste au sien.
Sur ses lèvres, un furtif sourire s'efface.
Il lui répond mais ce sourire le glace.
Il la regarde partir, s'effaçant dans la foule,
Engloutie dans la multitude de cette houle.
Seule parmi tous, elle fuit sa vie.
Et il la regarde s'enfuir vers l'infini.
Son cœur commence à s'emballer,
Se pourrait-il qu'il puisse l'aimer.
Cette fille triste et sans avenir.
Le nier serait se mentir.
Écrit par Bragi
Liberté est une insoumise que beaucoup d'hommes courtisent, mais bien peu embrassent
Catégorie : Amour
Publié le 03/12/2008
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Bragi au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 03/12/2008 à 18:41:28
C'est la suite de Solitude... | |
Bragi |
Posté le 19/03/2010 à 13:22:38
tristement beau.. c est un plaisir de te lire. amitiés estrella |
|
estrella |
Posté le 25/10/2012 à 22:45:02
Magique. | |
MARIE L. |
Posté le 25/10/2012 à 23:36:16
Merci de lire mes antiquités, MARIE L ! | |
Bragi |