Planète polymorphe,
Les nouveaux venus créèrent des colonies
Et des comptoirs marchands sur tous les continents
Car les migrants n'avaient aucune acrimonie
Envers les habitants, un monde fascinant.
Avec le temps, les contacts se développèrent
Et malgré les différences, l'amour naissant
Des couples des deux communautés se formèrent
Et leurs enfants devinrent des adolescents.
Malheur sur eux ! Ils étaient des mutants, chimères
Des monstres ! Des mi-entités, mi-humains
Ils furent massacrés de manière sommaire
À nouveau des Frankenstein, rien de plus commun !
 |
Écrit par CRO-MAGNON
Être doué en quelque chose, le talent se travaille mais le génie n'a aucune règle apprise et impose son style.
Catégorie : Amitié
Publié le 24/01/2019
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Amitié à découvrir... | Poèmes de CRO-MAGNON au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 24/01/2019 à 17:54:46
 |
Surprenante fin ! Le fantastique tenant à dicter sa conclusion ... Merci Olivier ! |
Yuba  |
Posté le 24/01/2019 à 19:36:45
 |
Début SF, fin : horreur !!! C'est la suite de ton poème du jour précédent, où l'impossible histoire d'une rencontre entre les espèces... Tiens, ça me fait penser à un de mes textes, je vais farfouiller un peu. J'apprécie ton poème où je pense aussi à cette formule de psychologie ou de psychanalyse : "pervers polymorphe"...lol |
jacou  |
Posté le 24/01/2019 à 19:40:46
|
Voilà, j'ai trouvé ce poème qui s'appelle "Drôle de couple !", je te le donne au verso du tien, en quelque sorte : L'univers est un grand réservoir pour nos rêves La vallée d'envols où s'épanouissent les mondes Où mille planètes verdoient avec leurs sèves Parsemées de vie dans des plaines grises ou blondes L'humanité patiente a colonisé Mars Et déjà paraissaient des extros sympathiques Astucieux tels des chats, monstrueux comme farces Trois yeux, six jambes, et des mufles fantastiques Leur intelligence nous laisse à des années Nous avons voulu d'eux les liens les plus solides Les technologies qu'ils nous transfèrent nous siéent Moins leur apparence d'êtres parfois bifides Pourtant des mariages ont lieux d'espèce à l'autre Qui n'est pas sensible à leurs peaux de serpents froids Peut épouser un être ayant peu l'air des nôtres Scientifique, je suis partant, je nie l'effroi ! |
| jacou |
Posté le 24/01/2019 à 19:44:23
|
Merci pour les commentaires ! Ton texte est un peu le reflet du mien ! |
| CRO-MAGNON |
Posté le 24/01/2019 à 20:10:28
|
C'est vrai Olivier ! |
| jacou |