La mer était devenue un brin houleuse
De lourdes vagues s'abimaient sur le sable
Dans une dysharmonie forte ennuyeuse
Aux nuits se succédaient des jours si semblables
Un vent des miens, insuffla un coup mauvais
En catimini, soulevant une tempête.
Des grains de sable dans les yeux, je larmoyais
De rage devant ces lames indiscrètes
Il s'était insinué sans avoir demandé
S'était glissé entre les feuilles secrètes
Au nom de qui de quoi, avait-il forcé
Furtivement ces quelques ombres secrètes ?
Au nom d'un silence devenu écrasant
Il a fureté pour pénétrer mes pensées.
Comment excuser ce vent trop curieux violant
En toute tranquillité mon intimité.
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Commentaires
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Posté le 05/02/2007 à 02:12:20
tres joli chris | |
mcjokers |