Je viens pour de mes mots te décrire la flamme
Que tu as mis en moi juste en étant la femme
Dont je sais qu'elle sera à tout jamais ici
Au fin fond de mon cœur, submergeant tous mes cris,
Mes hurlements de peur, sous le poids de l'amour
Que tu as introduit en ma vie pour toujours.

Je viens d'un tourbillon que tu as imposé
Au rythme de ma vie t'emporter loin la haut
Vers cette douce lune où nous nous reposons
Un instant loin de tout et nous admirons
Un somptueux clair de terre en nous tenant la main
Symbole de nos espoirs en de beaux lendemains.

Je viens de ta beauté faire ici l'élégie
Toi qui est l'orchidée qui embellit ma nuit
De sa blancheur diaphane, scintillante lumière
Sachant seule éloigner toutes les larmes amères
Naissant dans la laideur qui beaucoup trop m'entoure
Toi qui est la réponse à tous mes au secours.

Je viens pour de tes rêves souligner l'importance
Car même si on ne peut de songes se contenter
Il n'en reste pas moins que c'est ce merveilleux
Qui tout au fond cultive ce qui de de notre enfance
Sont les dernières boutures, les profondes racines
De l'Amour de la vie que trop on assassine.

Je viens de quelques vers te conter mes espoirs
Et te dire que toujours tu seras dans le noir
Le phare qui m'illumine, la flamme qui me guide
Le long de ce chemin qui sans toi semble vide
De touts ces petits rien qui pour être sincère
Sont de ma vie future tout ce qu'au fond j'espère.

Je viens encore une fois te dire ici l'amour
Que je ressens pour toi, toi qui est le toujours
Avec lequel mes rimes veulent le conjuguer
Et qui me fait rêver de ce jour où enfin
Je serais dans tes bras et où je te dirais
Ce que ces pauvres rimes ne sauraient exprimer.

Une plume de Dehorian

Mars 2011