Orage grondant sa colère..
La pluie là fit prisonnière.
Dans ce tourbillon d'infortune.
Elle s'est brisée tel le forgeron sur son enclume.
Emportée dans le cycle de la dépendance,
Elle s'en est allée sans révérence.
Devenue trop sombre.
Elle s'est noyée dans la pénombre.
C'est dans les ruelles désertes,
Que on la trouvait le soir inerte,
Allongée face à la mort,
Mainte fois, laissée à son pauvre sort.
Requiem pour un rêve effacé.
Fut un temps où la vie savait la régaler.
Mais dans une dépendance immonde.
elle s'est enfermée dans sa propre tombe.
La poudre blanche en coin de nez.
C'est pour cela, que tu nous as quitté ?
Tu as pris un chemin,
Où l'on ne peut te suivre
Bousculant ainsi ceux qui t'avaient pris la main,
Tu as plongé dans un monde où l'on ne peut survivre...
D.
Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Triste
Publié le 30/05/2010
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Il faut bien lire pour comprendre très émouvant dommage pour elle... | |
eric |
terrifiant ! l'addiction est un enfer et les dealers des assassins c'est tout beau poème terrifiant l'oeil d'un cyclone qui aspire ses victimes ,,, | |
flipote |
La blanche... quelle triste façon de s'en aller ! Divinity, la peine transparait très fort dans ton poème et tu nous la fais vraiment partager. Quelle tristesse ! Amitiés. |
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Alpero |
Il en faudra du courage pour s'en tirer, mais mes pensées sont avec toi et cette personne. Ne jamais regretter ce que l'on fait, même si cela semble inutile, et continuer d'essayer. Courage. |
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SpookyVince |
j ai beaucoup apprécié la lecture de ton poème, tu as bien su faire transparaitre la tristesse. | |
absolème |
Trés beau poème, vraiment. La dernière strophe est trés belle, et trés triste. "Les plus désespérés sont les chants les plus beaux..." Amitiés poétiques. Earwen. |
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Earwen |
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