- Le poème n'a pas encore été validé par un modérateur.
Là où prend fin le continent, je marche dans la mer.
Étincelante de lumière, elle monte sa marée et déroule ses eaux.
Le va et vient des vagues adoucit le rivage, le polit comme marbre, où graver des prénoms, dessiner des visages.
Là en bordure de plage, je regarde l'eau et le sable, qui, en amants fidèles, s'unissent et se parfont dans une étreinte infinie.
Là où le temps se gomme, je reste très longtemps: j'enroule mes regards à la rondeur des larmes jusqu'aux heures tardives où les pleurs des étoiles tombent sur le rivage devenant grains de sable.
Écrit par Eliane NERI
elle est retrouvée.Quoi...?L\'éternité.C\'est la mer allée avec le soleil.Rimbaud
Catégorie : Divers
Publié le 04/09/2015
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Eliane NERI au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 06/09/2015 à 19:45:00
C'est bien joli cet écrit. Je suis d'accord avec toi, l'intéressant dans la mer, c'est sa rencontre avec le rivage, comme des amants éternels. Merci pour ce beau texte. | |
eliosir |