Toi qui es mon amie,
Ecoutes-moi, je t'en supplie,
Je dois te parler d'une fille,
Qui depuis toujours,
Me hante nuits et jours...
Quand je l'ai rencontrée,
Il m'était d'abord étrangé,
Mais quoi qu'il en soit,
Il jaillit en moi,
Un sentiment sans lois !
Pourrais-tu me dire,
Quelle raison m'attire,
Comme un magnétisme,
Chargé d'érotisme,
A m'ennivrer de son charisme ?
Les mêmes goûts nous avons,
Et les mêmes passions,
Est-ce là l'explication,
Qui fait que nos ressemblances,
Coulent d'une même essence ?
Tout comme Cendrillon,
Sans ces drôles d'haillons,
Elle est vraiment pas mal,
Pour se rendre au bal,
Où beaucoup la râlent !
Mais de ses ondulations,
S'échapent un poison,
Qui force la soumission,
Qu'elle drôle de sensation,
Je suis comme un pion...
Et tel un gros lézard,
Je rampe à ses pieds car le hasard,
Nous fît s'embrasser,
Et par ce baiser, elle m'a envoûté,
Je suis possédé !
Pour parler d'amour,
Pas besoin d'un long discourt,
Offre lui une fleur,
Afin d'atteindre son coeur,
Et construis ton bonheur !!!
Elle est mon soleil,
Qui brille dans le ciel,
Et sa douce lumière,
Chasse peu à peu les ténèbres,
Enfuis au fond de mon être...
Mais comme une hirondelle,
Qui pourfend ce ciel,
Elle brise mon coeur,
Et ruine notre bonheur,
Ce rêve enchanteur !
Car dans cet espace,
Régnait une menace,
J'ai commis l'erreur,
Dont j'avais le plus peur,
J'ai blessé son coeur !
Au plus profond des cieux,
Je mourrais très vieux,
Mais vraiment malheureux,
Car pour me racheter,
J'ai tout essayé...
Je lui ai soufflé des mots doux,
Comme «I love» «I like you»,
Je les ai même inscrits,
Mais elle n'a rien compris,
S'en étais fini !
C'est une vrai p'tite peste,
Mais pourtant je reste,
Car qui peux me dire,
Ce qui m'oblige à vivre,
Sans entendre son rire ?
Vivre d'amour invisible,
Semble être impossible,
Mais dans ce monde cruel,
Où rien est immortel,
Je ferais tout pour elle !
Pour construire l'amour,
Pas besoin de longs discours,
Offre lui des fleurs,
Afin d'ouvrir son coeur,
Et décris-lui le bonheur !!!
Lorsqu'un de mes amis,
De vitesse me prit,
En prétendant l'aimer,
Mon coeur s'est resséré,
Je me suis effondré...
Me voyant dans cet état,
Il fût dans l'embaras,
Mais pour notre amitié,
Il voulait me la laisser,
Je ne savais quoi penser !
J'lui dis: «Te fais pas de bille,
J'ai bien aimé cette fille,
Mais c'est du passé,
Je ne l'ai pas méritée,
Cours la rattraper !
Brise le maléfice,
Qu'a conçu mon vice,
Rends la moi joyeuse,
Elle est si belle heureuse,
Cette fille malicieuse...
Mais si ma mort arrive,
Je voudrais que tu lui dise,
combien je l'ai aimée,
Même lorsque j'ai rejetté,
Son tendre baisé !
Je peux encore le sentir,
Il est dans mon souvenir,
Et tout ça pour soutenir,
Cette sale image de moi,
Devant ces bourgeois...
J'ai été stupide,
Et parfois perfide,
Pourtant je regrette,
Les blessures que j'ai faites,
Tel une mitraillette !».
Pour décrir l'amour,
Pas besoin d'un long discourt,
Laisse parler les fleurs,
Puis met à jour ton coeur,
Et partage ton bonheur !!!
Je lui dis avec foi:
«Ne fais pas comme moi,
Dis à cette femme,
Qu'elle est pour toi la flamme,
Qui nourrit ton âme.
Sur le chemin du bonheur,
Avec un bouquets de fleurs,
Déclare lui l'ardeur,
Qui consume ton cœur,
Ne commet pas d'erreur !».
De toi à moi, mon amie,
Je m'en fît toute une maladie,
Je ne pouvais supporter
Quelqu'un d'autre à ses côtés,
Mais elle m'avais rejetté...
Si heureuse elle était,
Subsister, je pouvais,
Mais au bout de quelques temps,
Ce n'était plus comme avant,
Ca devenait alarmant,
Lui qui prétendais l'aimer,
N'avais fais que la tromper,
Toute seule il l'a laissa,
Je n'aurais jamais crût ça,
Mais de chagrin elle sombra...
Après m'être assoupi,
J'y ai bien réfléchi,
Et je crois avoir compris,
Que je ressentais pour elle,
Des sentiments éternels.
Car jusqu'à ce jour,
Il n'y a que cet amour,
Qui depuis toujours,
Repose au fond de mon coeur,
Et qui me fait si peur...
Pour partager l'amour,
Pas besoin de longs discours,
Ne commet pas d'erreurs,
Faut laisser parler ton coeur,
Et avoue ton bonheur !!!
De cette histoire morose,
Je dois te dire une chose,
Il faut plus que j'me défille,
Mais avant d'être une fille,
Elle est mon amie...
Si tu m'a bien écouté,
Tu aura pu constater,
Que tout celà t'es dédié,
Je ne pouvais plus le cacher,
Je n'aurais pu le supporter !
Mais avant de me répondre,
J'ai quelques choses à dire,
T'es p't'être pas la plus jolie,
Ni même la plus gentille,
Mais je t'aime à la folie !!!
Bien que j'ai fort tardé,
Je voudrais me rattraper,
Car pour être à tes côtés,
Je peux tout abandonner,
Mon amour est illimité…
Pour avouer l'amour,
Pas besoin d'un long discourt,
C'est parfois très compliqué,
Mais il faut se lancer,
Sinon c'est d'avance raté !!!
Pour obtenir l'amour,
Pas besoin de longs discours,
Il ne faut pas avoir peur,
Et laisser parler vos coeurs,
Puis avancez vers le bonheur !!!
Pour partager l'amour,
Celà ne prends pas qu'un jour,
Et il n'y a aucun tour,
Il faut d'abord être deux,
Ensuite vous finirez heureux !
Écrit par Elie Caretaker
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Catégorie : Amour
Publié le 11/12/2012
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eric |
Merci ;) Une chose à souligner est que ce texte a été rédigé, quand j'avais 19, de manière à pouvoir être chanté sous l'air de "Au nom de la rose" ! |
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Elie Caretaker |