O catin au sein enflé de venin
Oserai-je reculer plus loin
Garderai-je le soir en te voyant partir
Ton parfum, unique remède à mes repentirs
Redis moi ce que ton souffle me chantait
Ces regards impies qui me hantaient
Lorsque sur moi, ton corps qui me lèse
Comme une vipère sur la braise
Se tordait en me dévorant des yeux
Et enfantait, tel le chant des gueux
Cette mélodie qui fit frémir ta lèvre
Sur mon front qui te passait ma fièvre
Appréhendant de mes poings serrés
Tâtant ce flot dans tes veines ulcérées
La seconde où je lirai dans tes yeux de guépard
Le triste refrain d'un nouveau départ
Et cette larme qui mimera sur ma main
Ton absence certaine du lendemain.
Écrit par Elyas
Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas Elyas
Catégorie : Amour
Publié le 10/11/2009
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Posté le 17/03/2012 à 18:54:26