Je me lève
Et avant
De penser à elle
Je sens
Son absence
Qui souffle
Mes espérance
Je te souffre.
Questions infinies
Je me demande
A quel point les "si"
Sont tristes à entendre
Questions maladives
Pourtant j'ai cru voir.
Aucune injonctive
Ne calme mes espoirs.
Comme pris au piège
De ma propre pensée,
Comme un cœur qui saigne
Prêt à tout inonder.
Envie de lyrisme
De grands sentiments
Me dire que mon iris
Lui inspirera le firmament.
Me dire qu'elle ne peut
Réciprocité
Ne pas vouloir... un peu
Mieux me connaître.. me regarder.
Mince quand je pense à elle
Me voilà retombé
Dans la folie d'un rêve
Premiers émois que tu avais provoqué.
Alors plus de raisonnables phrasés
Plus de muselière au lyrisme onirique
Je n'attendrais plus que d'être à tes côtés
Me noyer dans tes yeux et de pastis quelques litres
Même l'écriture de ce poème
A des visées thérapeutiques
Mais je me le jure que si elle ne m'appelle
Je lui imposerais ces visions chaotiques.
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Je comprends, et partage. Un beau poème explicite. Bonne Chance ! ou Bon courage ! |
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Malouk |
Je disais donc avant coupure internet,que vous étiez un admirable maitre chanteur avec vos litres de pastis !ça va marcher mais j'espère pour vous qu'elle à votre n° de bigo? sur qu'il est sur liste rouge, c'est malin ! Très beau texte finement joué ! Très cher ami ! |
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Ecriveuse |
Oui Malouk j'essaie, à travers la poésie, de me mettre au clair avec moi-même, merci de ton passage et encouragements. Hé hé Ecriveuse, merci de ces pensées positive... l'attente est longue car nous ne pouvons nous voir ... Merci de ton passage. Amitiés |
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Eoz |