Au scintillement grisant
Des trompettes de nacre
Luit l'aube lointaine
Quand les flammes
Sont éteintes
Les chagrins pleurent
Quelle tristesse
Les masques tombent
Et les lacs d'azur
De cristal
Sont en liesse.
Écrit par Etienne de Mirage
Le coeur est une langue qui se passe de mots.
Catégorie : Spiritualité
Publié le 25/01/2020
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Commentaires
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Posté le 25/01/2020 à 15:13:32
magnifique tempête de l'esprit fulgurante | |
marinette |
Posté le 25/01/2020 à 19:42:39
L' instant poétique d'intense beautè Merci Etienne pour ce pouvoirde faire pleurer lchagrin ! |
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Yuba |
Posté le 25/01/2020 à 21:47:15
Onze vers pour déplier un monde et peindre un paysage, félicitations Étienne pour cette concision qui m'épate ! Il y a comme du Rimbaud ici et le vers unique d'Apollinaire m'est évoqué également ("Et l'unique cordeau des trompettes marines")... |
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jacou |
Posté le 26/01/2020 à 17:24:46
Des "trompettes de nacre" aux "lacs d'azur", sont saisies une quête de sens et la densité de l'âme insatiable. Et cet art de la brièveté suscite mon admiration. |
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Ombrefeuille |