A travers le petit bois mignon
J'erre le buste penché au loin
Puis près des cigales nous pleurons
Des larmes de crocodiles point.
C'est l'aurore maintenant et
je plonge, la mer christalline
Mon cerveau se noie près d'un noyer
Où je prends racine, très fine
De multiples herbes embaument,
Jardin chargé de légumes
Où est l'envie d'un de ces hommes
qui donnent vins et des agrumes
Jusqu'à en devenir fous d'amour
Pour me trouver et me retrouver
dans mon pré qui l'oreille sourde
Lui se préoccupe de pousser.
Eléonore
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Commentaires
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Posté le 04/10/2009 à 14:10:19
bonjour GE, évasion étrange mais intéressante ... lu et relu |
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marie-ange-old |