Tu l'avais malgré toi chiffoné et froissé
En courant dessus, nerveuse et trop angoissée
poursuivie par ce qui t'en séparerait,
un mouvement de plus et tu le déchirais.
Car quel qu'il soit à tes yeux, ce n'est au fond que...
qu'un petit bout de papier qui n'est au fond que...
que ce que tu voudras coucher dessus,
mais c'est aussi le seul que j'ai jamais revu
Enfin, il est intact, tu as su t'arrêter,
regarder ces vilains plis pour les redresser,
Le propriéraire à tort s'en est inquiété,
mais il oubliait à qui il s'adressait.
Maintenant qu'il est rassuré, c'est avec joie
que pour longtemps encore il se fiera à toi.
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Commentaires
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Posté le 06/03/2004 à 22:59:07
on joeu les sentiments ... c beau mais aut savoir si c vrai ... 2-k c super ton poeme school_suck_for_life@hotmail.com | |
baby-phat |
Posté le 18/01/2010 à 11:05:56
Merci pour ce poème!!! Je l'ai toujours sur le carnet que tu m'avais offert... :'( Je ne savais pas qu'il se trouvait sur le site. Merci encore de m'avoir aimer. Flo |
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pyro_flo |