Si Galilée avait eu tort,
Alors les falaises tomberaient comme des poignards au bord du Monde
Dans le vide d'une terre plate et immonde,
Laissez-vous conter le décor
Christophe Colomb n'aurait jamais eu vent des amériques,
Se jetterait dans les étoiles, les vagues de l'Atlantique
On pêcherait des comètes fugaces et éphémères,
Mordant à l'hameçon de paquebots stellaires
Au bord du Monde qui ne tourne pas rond,
Jetons l'ancre dans la mer de nuages sans toucher le fond,
Nageons de nos corps élancés vers l'île lunaire
A tribord, cap pour une croisière imaginaire
Au retour, en posant les pieds au sol de notre Terre,
L'horizon se rappellera de nos énigmatiques aventures,
Là-bas, vers l'au-delà solitaire
Où les frontières baissent enfin leurs armures
Écrit par Gregory Cordero
Le plus grand risque, c'est de ne pas en prendre
Catégorie : Divers
Publié le 29/07/2014
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Gregory Cordero au hasard |
Commentaires
Annonces Google |