Je suis enfin partie, lançant le compte à rebours
En guise de souvenir, je te vois mon amour
Tout d'abord notre rencontre, comme une pièce de théâtre
Mais le temps n'attend pas je suis déjà à quatre
Nos croisements voulus, comme nos éclats de rire
Et le temps marque une pause, on regarde ton sourire
Il va reprendre sa course mais je ne vois que toi
Et sans même me prévenir il dépasse le trois
Enfin c'est le moment où, seul, je me rends compte
Que tu es à jamais la princesse de mes contes
Mais je connais la suite et détourne les yeux
Il s'est fallu d'un cheveux pour ne pas voir le deux
Maintenant c'est le moment où j'ai vaincu ma peur
Où je fonce chez toi, pour te donner mon cœur
Toi dans ce restaurant où je te vois de loin
Tu en embrasses un autre, pile au moment du un
C'est le tout dernier acte, je me vois sur ce toit
Je lance le compte à rebours et toi tu cries plus bas
Je ne suis pas ton ange, c'est pour ça que je chute :
Le temps est écoulé et le sol je percute …
Écrit par Hellwing
J'ai un trous à l'intérieur est ce normal ?
Je ne peux le combler, ça fait mal. Catégorie : Triste
Publié le 15/11/2008
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Hellwing au hasard |
Annonces Google |
Original, le compte à rebours de cette pièce de vie... bel écrit... et comme dit par marieange, aucun amour ne mérite d'en arriver là. | |
°Darkdiamant° |
En réalité le compte à rebours se sont les étages qu'ils voient passer à mesure qu'il s'approche du sol | |
Hellwing |
Superbe... | |
Calypso. |
joli texte bravo Lionel |
|
lionel |