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La morsure brûlante d'un baiser sur la peau,
Des flammes jouent à embraser le corps,
Quand mon cœur se transforme en marteau
Et veut casser cette prison de chair et os.
Ta main rêveuse caresse les pétales de rose,
Elle frôle à peine le velours noir et chaud,
Devine en touchant ce mystère que l'on n'ose
Imaginer, brûlant comme le soleil du sud.
Pris par tant de désir à faire trembler le souffle,
Symphonie née de tes mains ensorcelées,
Pour elles, tout mon être devient ton orchestre,
Tu fais danser autour, des étoiles liliacées.
Je cherche, perdu, deux fleurs couleur violacée,
Avec mes lèvres assoiffées, brûlées au feu
De cette nuit ensoleillée et, mes sens damnées,
S'envolent dans la folie blanche de ta peau.
Nos univers s'ouvrent sur des myriades d'étoiles
Filantes, éclats d'une déflagration des corps,
Dans notre union sacrée, dessinée sur les toiles
Couleur rouge, de notre amour fou, en décor.
Écrit par Ianus Nazarenus
Carpe diem
Catégorie : Amour
Publié le 26/09/2008
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