Le ciel lumineux et pétillant,
Explose en de sublimes étoiles,
La blancheur lunaire, frissonnant
Dans ce froid, qui nous dévoile,
Ses dizaines de milliers d'enfants.
Qui d'un seul et même élan,
S'élancent dans l'obscure néant,
Pour atteindre larmoyant,
Notre atmosphère, brillant,
D'une lumière inconnue et pourtant,
Tous les regardent, ces diamants.
Qui après avoir traverser le temps,
Pour but de toucher, simplement,
Le sol de notre planète,
Se consume dans la tempête,
Des âmes humaines en quête,
D'un bonheur irréel et matériel.
Écrit par Inconnue
Simplement, je me résigne à aimer puisque la solitude me consume et que l'infini de mon âme s’assombrit, d'un noir profond comme la nuit dont je me nourri.
Catégorie : Divers
Publié le 14/02/2011
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Commentaires
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Posté le 14/02/2011 à 06:31:24
La première strophe est très jolie, mais plusieurs virgules mériteraient à mon avis d'être retirées, car elles gênent le rythme de la strophe. Le reste du poème est joli. |
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Wild |