Je me souviens encore
De nos promenades le soir
Ou tu me décrivais l'Allemagne
Et moi la France.
Je me souviens de la fleur
Que tu m'as offerte.
Aujourd'hui tu ne
Me parles plus
Alors que tu parles
A ceux qui
T'ont traité
De sale nazi,
Et moi qui t'es toujours
Défendu tu m'a oublié
Tu m'as laissé dans mon coin
A souffrir.
Je ne pourrais jamais
Revoir tes sourires
Moi qui les mérites.
Eux les vérons
Alors qu'ils ne
Te respectent pas.
Écrit par Iris
On dit que le bonheur est à porter de main alors on tend le bras et on deviens fou !
Catégorie : Triste
Publié le 09/11/2009
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Commentaires
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Posté le 10/11/2009 à 19:52:21
c'est magnifique !! Tu mérites bien ces précieux sourires et bien plus encore ! | |
Riane |
Posté le 10/11/2009 à 20:09:57
merci Riane tes mots me réchauffe le coeur ! | |
Iris |
Posté le 10/11/2009 à 22:49:51
quel superbe poème avec des accents déchirants amitiés d'automne^^:=)) | |
1958 |
Posté le 11/11/2009 à 08:45:11
Merci Slyvain de ton commentaire. Mes amitiés les plus sincère. Iris |
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Iris |
Posté le 11/11/2009 à 14:36:07
c'est beau iris courage ... | |
reason03 |
Posté le 11/11/2009 à 15:24:00
merci reason03 du courage oui il va falloir que j'en aie | |
Iris |
Commentaires
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