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Un homme est allongé sur l'herbe verte et tendre,
Le sourire parfait, preuve de son bonheur.
C'est sa tranquillité qui nous le fait comprendre:
Cet homme, hier, cherchait à être seul sur l'heure.
Autour de lui résonne un doux chant d'un oiseau
Vivant dans un pommier, sous lequel, lors, sommeille
L'homme. Un peu plus loin tonne une cascade d'eau
Pure, transparente et reflétant le soleil.
Cet endroit était plaine, un plateau de verdure;
Aujourd'hui, il y a des trous, de-ci, de-là
-Je crois, une centaine; oui mais le lieu est pur :
Pas même un bruit de pas pour déranger l'endroit.
Près de l'homme, une épée, un arc et un carquois,
Qu'il ne portera plus, preuve qu'il est en paix.
L'homme était un guerrier, brave, fier et adroit...
C'est ça qui l'a perdu; dès lors, nul ne le sait.
Le vent souffle assez fort, mais pas assez encor
Pour que cille cet homme. Tomberait une pomme
Sur son torse immobile, on ne romprait l'idylle
Qui rattacha l'épée au sang de ce guerrier.
Écrit par John Craft
Il est dit qu'être heureux relève du Destin,
Lors que ce sont nos vœux qui dirigent nos soins ! Catégorie : Triste
Publié le 20/02/2008
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Ca me fait penser à ce poème de Rimbaud où un soldat mort est décrit de la même manière. | |
Tara |
Et bien c'est parfaitement voulu, c'est une forme de pastiche ! ^^ Mais je suis content du résultat. Merci magré tout, Tara, c'est gentil, tous tes commentaires ! |
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John Craft |
superbe poème mon cher craft encore ! | |
flipote |