Caresse la chaleur qui stimule mon ivresse
Fais tourner la richesse, calfeutre les distances
Qui tournaient en errance, surplombant ma paresse
Tu arrosais mes pleurs, qui souffraient de la fuite
Je ne divague plus dans la suite affrétée
Dans mes corps a perdu la victoire enfourchée
Qui rencontrait ta verve, ton emprise de velours
Brise en limaille de fer, qui existera toujours
Je m'étends je persiste, je ménage ton carnage
La venue arriviste me poignarde sous le vent
Les trouées les percées évaporent les substances
Qui baignaient les livrées de phobies fabuleuses
Qui avalent dans le soir les erratiques heureuses
Et les armes, et les carnes, et les femmes….
Déjà les chars se saignent, déjà les bars se mènent
Et si les comptoirs souffrent de mon image rougie
Par les idiots piliers qui s'échappent assouplis
Délavé en freelance, j'ai mangé ma raison
Vidé toutes les boissons, desséché cette desserte
Sans trouver une alerte, je t'ai vu à foison
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Très beau texte...Bravo Amitié Francine |
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Francine |