Je conclu que ce fou n'envisage que son pouls,
Que son bras enflammé a supporté les maux,
Que naguère enchanté tu remettais à flots,
C'est ta vie c'est ton cou qu'il a brisé surtout.
Et les pioches à grosses têtes qui ternissaient ta robe,
Prolongeaient les histoires charnières de ton futur,
Quand le vent à tue-tête soufflait de son opprobre,
Avilissant ta verve, tes repères, tes mesures.
Je ne sais plus si c'est toi où bien elles qui conclurent,
Qui scellèrent dans le brut le baril liquoreux,
Dont la fuite dérangeait attentistes et envieux,
L'aventure du vieux roi se finit dans la bure.
Ce linceul est grossier mais comparé à ceux,
Qui sans tact avoué ont saccagé les lieux,
Je me dis qu'il est d'or le fil de cette bobine,
Car c'est lorsque que tu dors, que ta mort me ravine.
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Poème intéressant à lire et rempli d'images. J'ai du le relire plusieurs fois pour bien saisir, mais tout ça avec plaisir. | |
I-ko |