D'un amour d'une telle puissance, il s'agit,
Qu'en une constante quête desespérée,
Je cherche à sortir, à parler, exprimer,
Ces sentiments éprouvés remplis de magie,
Jusqu'au point où mes yeux ferment de fatigue,
Larmes coulent, par la faute des baîllements,
Toute la nuit, cet amour berce doucement,
Mon coeur d'enfant qui, sur l'océan, navigue,
Au matin venu, je quitte les beaux rêves,
Qui peuplaient mon sommeil d'émotions folles,
À contrecoeur, mon corps engourdi, je lèves,
Arraché au monde rosé où je vole,
Je retourne à mon grand rêve éveillé,
Que j'ai peine à voir comme réalité.
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Commentaires
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Posté le 19/09/2008 à 22:27:54
superbe ! | |
louann |
Posté le 19/09/2008 à 22:28:51
Merci. :) | |
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