Je m'rappelle de cet homme,
qui avait du charisme,
Et du rire et du Drôle,
Un stylo plein d'malice,
Je m'souviens de ce gars,
Qui regarde dans la rue,
Des passants, les p'tits pas,
De leurs vies, leurs vertus.
Le papier griffonné, par le BIC en guenille,
Qui se tient en ces pieds, que l'on fait fin de ligne,
La casquette sur la tête, le cerveau qui bourdonne,
D'images de ces hommes, de ces femmes qui traversent...
Fiers de n'être plus mômes, du moins au Paraitre,
D'être honnêtes en somme...
Ou plus humains peut être ...
Dans le creux de sa veste, dans un coin de sa tête,
Il range son stylo, comme on s'tient l'hématome,
Car c'que le monde reflète, c'est bien lui, faut l'admettre,
La masse est fléau, trop d'moutons dans l'métro.
Écrit par L'Autochrone
L'humain est une équation dont il est son propre inconnu.
Catégorie : Amitié
Publié le 05/07/2014
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Commentaires
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Posté le 05/07/2014 à 11:16:16
j'aime toujours ce que tu écris ! très heureuse de te lire à nouveau! tu te fais trop rare | |
flipote |
Posté le 11/08/2021 à 00:29:45
J’aime … | |
sweet revenge |