Quand toute flamme s'est éteinte, soufflée par l'ange bleu de l'amour,
Que tout n'est plus qu'orage autour,
Quand on cesse de croire, à l'immortalité,
Quand l'on préserve chaque cendre, chaque braise,
Et que seul reste le souvenir du brasier,
Je ne vois plus que mirages, et mon esprit
S'égare au passage de ses ailes affranchies,
Restant soumis à l'esclavage d'un tyran évanoui.
Transcendant le début comme la fin, la douleur comme le chagrin,
Le temps, qui comme le vent, balaye le feu,
En atteignant le cœur a dissipé les volutes, les doutes insidieux,
Révélé la femme, brillant de l'argent d'un éclair de lune,
Subjuguant les remparts, déversant mes sentiments à ses yeux,
A ranimé une flamme, éclairant cette nuit sans fin.
Semeur de Rime, 29 juillet 2011
Écrit par Le Semeur De Rime
david-gossart@hotmail.fr
[http://semeurderime.skyrock.com/] Catégorie : Amour
Publié le 29/06/2011
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Commentaires
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Posté le 29/06/2011 à 14:37:18
c'est étrange comme le début nous fait penser à la fin d'un amour alors que la fin nous explique en définitive le début de cette histoire entre début et fin toute une histoire. |
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p'tite fée |
Posté le 29/06/2011 à 14:46:26
Je suis heureux que que ce soit l'impression que mon poème vous ai laissé car c'est exactement ce message que jai voulu faire passer, la fin d'une merveilleuse histoire, ma tristesse, puis une nouvelle rencontre, une révélation. | |
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