Car tu es ma reine, je voudrais te promettre,
Un de ces contes merveilleux, qui n'existent pas,
Mais qui se transcrivent, au-dedans de nos rêves,
Qui sont faits de ces mots, que l'on dit à mi-voix,

Tu es nue dans ce lit, que notre amour consume,
L'un pour l'autre, c'est ainsi, car les cœurs sont plus forts,
Quand ils se tiennent chaud, même dans l'habitude,
Qui grandit nos esprits, qui emmêle nos corps.,

L'un à l'autre on s'élève pour atteindre les étoiles,
Notre ultime but et dans un dernier effort,
Je regarde tes yeux, et j'y vois ton éclat
Je m'écroule, tu me prends, aimons nous encore.

A l'abri de ces vers, je ne dévoilerais pas,
Car Tu le sais bien, nous ne sommes pas grand chose,
Sinon deux Êtres, qui voulaient qu'ici-bas,
L'amour puisse enfin transcender la prose.