Me dépassent les rues, que malgré tout, j'arpente
Tant que les aléas, ne se sont effacés
Les places qui s'esquivent, et les anciennes chambres
Les anciennes conquêtes, ou celles qui ont l'ancienneté.
Dedans ces souvenirs qui trop souvent nous frôlent,
Dedans ces vers au passé qui rengaine,
Dedans ces latex, qui s'habillent, de nos maux
Pour laisser un instant place à la lumière
J'endosse le costume, donne un tour de clé
Je m'habille de parades, pour les jeux interdits
Au détour d'une rue, je viendrai me lover
Au dessous d'une jupe qui s'enlève trop vite
Et le matin appelle, les vêtements se reforment
Et devant cette porte, trône un « Au revoir »
Pour une phrase imbécile, rhétorique pour la forme,
Dans l'un de ces matins, où s'est enfui le soir
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 07/12/2008
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Commentaires
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Posté le 08/12/2008 à 00:42:35
J'aime beaucoup celui - ci.. Je n'vois c'que je pourrais dire d'autre! réécriture d'une réalité trop réelle.. |
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lo |
Posté le 08/12/2008 à 17:37:46
joli texte :) faire du réel de si jolies choses bravo ! | |
stef31 |