Elle, Elle était libre et belle, comme un oiseau perdu,
Il était cassé, sans ailes, malgré tout il plût,
Elle était si jolie, dans sa robe de peau blanche,
Qu'il voulu de sa vie, se sortir des tourments.
Vint un jour où Monsieur, s'en alla chez les dames,
Et c'est Dame Nature qui l'avait fait ainsi,
Tour à tour dieu et fauve, tourmenté, de l'estale,
Sur laquelle l'avait mis, un peu tôt, sa promise
Alcoolique, il fut, et camé comme pas deux,
Pour un diable de rue, pour ce pauvre de banlieue,
Qui avait maquillé, dans des rires assassins,
Toute son anxiété, son suicide comme fin.
Et alors cette belle, pour toujours lui voulu,
et lui la voulait, mais un sens, est sens nul,
Il rapiéça tour à tour, son manteau et son règne,
S'appela Troubadour, et ne fut plus le même.
Et voila les années, se tourmentent et se lâchent,
Ces deux mains séparées, qui ne se reconnurent,
Que dans ce papier, aquiésant même les fables,
Histoires de non-dits, qui parsèment leurs murs.
Il est devenu hargne, elle est devenue morne,
Tour à tour, ils sont, le fantôme de l'autre,
Elle crache son ennui, dans des boites de satin,
Il débecte sa vie, à grand coup de surin.
Et voila c'est ainsi, que les choses se passent,
Car il aura fallu, en finir une fois,
Histoire de reconstruire, dans des années, hélas,
Le règne de jadis, dont demain est la Foi
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 03/03/2009
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Qu'un mot, superbe.. bin oui hein c'est pas ma faute, c'est pas orginal mais quand c'est lu d'une traite, t'as le souffle coupé! :) ;) Je t'aime!!!!! ^^ |
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lo |
Un grand coup de surin je sais pas, mais un bon coup de plume certainement. J'aime. |
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Iraenocte |