Il y a différentes choses,
Ce qui nous consume, ou que l'on consomme,
Les vrais amours, ou ceux de proses,
Les grosses ratures, qui nous détrônent,
Les vrais sourires, ou pour la pose.
Au fond de la masse des hommes,
Sous un T shirt, ou un survet',
On visse casquette, sur des dehors,
Pour qu'du dedans, ça semble plus clair,
L'humain naquit, un jour de l'homme,
Une rencontre entre deux êtres,
Fait par hasard, entre deux corps,
Qui ce jour-là, au moins s'aimèrent,
Je suis Amer ? C'est mon symptôme,
Et les médocs, ne marchent pas,
Car si j'ai l'air, ou si tout comme,
Je nous fredonne souvent à Trois,
Et si un jour au creux d'mes bras,
Viendrait s'loger un bout de toi,
Un bout de moi, pour c'fameux Trois,
Gueulerai-je encore, c'que je n'sais pas ?
Et puis l'humain naquit de l'homme,
Mais alors, qui fut le premier,
Est ce la graine, qui dans l'aphone,
Aurait réussi à parler ?
J'suis pas amer, Si, un peu comme,
Un d'ces matins, ou j'ai levé,
La jambe inverse, non pas la bonne,
Écrasant Terre du pied Gaucher.
J'ai que ce nom, qui m'fut choisi,
Je sais pas trop si ça m'va bien,
J'frappe à ta porte, Toi qui est utile,
Un vers rend vers l'envers sans fin.
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 05/03/2010
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bonsoir troubadour, heureuse de retrouver tes écrits, très déconcertant cet écrit, mais tellement riche à lire, alors je reviendrai, "Mais" l'homme pas si humain que l'on pourrait le penser à très bientôt |
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marie-ange-old |