Je sors l'Ancêtre, ma vieille muse,
Et je m'amuse de ce concept,
J'tire des rumeurs, les plus confuses,
Toutes ces âmes, pour une seule tête,
Tant de personnes, qui n'me connaissent,
Et puis autant qui sont parties,
Autant d'histoires, qu'un jour, j'oublie,
Que je relis, dans mes p'tits textes,
Me voila troubadour, me r'voila comme souvent,
A piper dés, à jouer double,
A faire en sorte, que l'on n'me trouve,
A faire la bourde, de n'être personne
Car ma plume est du pixel, et puis ce soir, je me relis,
J'lis mes années, et mes sommeils,
J'délivre mon Ame, de ses comptines,
Donc à bientôt, toujours est il,
Que rares seront ces personnes,
Qui sauront retrouver, qui suis-je,
Et ca me plait, je n'suis qu'un homme,
Quand tant de monde, aime s'affirmer,
Quand tant de monde aime son nom,
J'ressors l'Ancêtre, et je m'remets,
A être c'que j'suis, la plume des Combles
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Divers
Publié le 11/11/2010
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Bon retour, Troubad ! Qui que tu sois, c'est toujours un plaisir de te lire. | |
Nighty |
Bienvenu chez toi Troubad...nous ne t'avons pas oublié Greg. Bises à bientôt Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
mais c'est très bien comme ça ,,, nous t'aimons comme le père bon DIRU , SOUS TROIS iDENTITÉS,,, poète des combles,,,, | |
flipote |
Toutes les vérités ne sont pas bonne à dire Flipote. " commère" J'ai dû laisser quelques uns de mes empreintes sur tes écrits, Re à toi. | |
ramie |