Les souvenirs qui se souviennent,
Pendant que les heures s'écoulent,
Pendant que le passé se rappelle;
Et que mon coeur se lasse de tout.
Et puis...
Et puis ces anges que je cherche,
Et puis cet homme qui me détient,
Et puis cette voix toujours la même,
Et puis le tout, et puis plus rien.
La lumière se fait moins forte,
Le ciel m'a volé mes idées,
Et j'écris d'une plume morte,
Celle qui me ronge, celle qui m'effraie.
Il y a ce temps que je crains,
Ces années qui veulent passer,
Et ces réveils en ces matins,
Que je ne saurais vous raconter.
Au creux d'une vie, je ne suis rien
Y aura-t-il un ange sur cette terre,
Qui un beau jour tendra la main,
Pour ce morceau d'ancienne lumière.
Et puis...
Il y a les années qui se lassent,
Et cette voix que je connais,
Qui me réveille dans mes cauchemars,
Que je ne reverrais jamais.
Les humains me diront,
Que cet homme est à mon bras,
Je vous répondrai que non,
Je ne mange pas de ce pain là
...
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Triste
Publié le 23/11/2008
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Le troubadour au hasard |
Annonces Google |
trés beau ,je connais ces rêves et ces cauchemars.... merci à toi,bises | |
la puce |