Seul à terre.
Les cris de désespoirs,
Sont seuls et muets,
Les pleurs sont dérisoirs,
Habilement maniés.
Ambiguité dans cette tombe,
Avançons tous en trombe,
Cadence accentuée,
Par les genoux à terre tombés.
Gladiateur tout en armure,
La tête posée contre le mur,
Il s'apitoie sur son sort,
Sachant qu'il ne sert plus à rien de faire des efforts.
Écrit par Liberty
"Je est un autre, on ne peut pas dire je pense, mais on me pense."
Arthur Rimbaud Catégorie : Divers
Publié le 15/03/2012
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Commentaires
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Posté le 15/03/2012 à 16:43:58
bel écrit | |
angelique |
Posté le 02/11/2012 à 17:21:33
L'image du gladiateur sort un peu du chapeau, comme les Parques dans ton autre poème. Par ailleurs, je te lis : "Cadence accentuée Par les genoux à terre tombés" La cadence devrait être ralentie par les genoux à terre tombés, la forme prend le dessus sur le fond. La conclusion est minable, je dis bien minable ! salutations |
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Good Times Bad Times |
Posté le 02/11/2012 à 20:13:31
Eh bien merci pour cette franchise ! Oui c'est vrai, quand on ne sait pas comment faire rimer la forme prend le dessus. J'avoue que ça n'a aucun sens mais on ne peut pas toujours faire bien. Tout le monde fait des erreurs. Quant à votre commentaire sur ma conclusion je trouve que vous y allez un peu fort. Expliquez vous au lieu de jeter le mot "minable" de cette façon ! | |
Liberty |
Posté le 09/11/2012 à 21:52:06