Arraché au coeur de la jeunesse
A la vie, à ses tourments, ses passions
Tombé, les yeux emplis de détresse
Il vivait là son dernier frisson
Les yeux de la tendresse se sont emplis de larmes
Douleur crainte ou dignité involontaire
Les coeurs devinrent impuissants, les bras, sans armes
L'imprévisible les avait jetés à terre
Intolérable hasard ou destin cruel?!...
Il avait la sagesse des adolescents
Mais aussi l'insouciance qui l'a mené au Ciel
Reste l'indicible présence des absents...
*
(en souvenir de mon cousin Renan...)
Écrit par Lucyline
Carpe diem... Pour que les roses poussent, MALGRE TOUT, à travers les épines...
Catégorie : Amour
Publié le 19/11/2010
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Commentaires
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Posté le 19/11/2010 à 15:02:08
Beau et sincère hommage que tu dédie à ton cousin. C'est toujours très difficile de perdre quelqu'un et de lui écrire quelques mots soulage souvent. Amitiés émues. |
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JB |
Posté le 19/11/2010 à 19:16:31
Une belle émotion ...pour un bel hommage...merci Lucydine;) Bises |
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Yuba |
Posté le 19/11/2010 à 22:16:06
D'une immense émotion ce magnifique poème, L'absent revit sous ta tendre et affectueuse plume. bises Louann |
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louann |