Comme le verbe ‘rêver', je suis un palindrome de douceur
Une trêve à se troublant syndrome qui touche ton cœur
Je t'aime, un peu, beaucoup, à la folie, passionnément
Et si la vie était un lieu où l'on jouerait tel des enfants
J'arrache les pétales d'une marguerite devant tes yeux
Passionnément est le dénouement, cela est merveilleux
Comme le trèfle à quatre feuilles, je veux ton bonheur
Dans cet âpre et vil monde inondé par tant de douleur
Cap ou pas cap de devenir mon amoureuse pour la vie
Car je ne suis plus capable d'être heureux sans l'envie
De te prendre dans mes bras et de pouvoir t'embrasser
D'entendre ta douce voix et ainsi de toujours t'enlacer
Toucher par mes mots, ce n'est sitôt plus moi le loup
Incroyable comme il fait chaud quand tu me rends fou
Je me moque de l'hécatombe lyrique de cette chanson
Et je bombe le torse d'un monde qui n'a pas de raison
L'altimètre de ma passion me prouve une vive montée
De baisers sur ta peau, déposés par autant de voluptés
Tel un militaire amouraché par les flèches de Cupidon
Je dis à ce petit archer d'illimité le nombre d'émotions
Afin que je puisse pour toujours profiter de ton sourire
Car tu n'imagines pas à quel point mon amour t'admire
Je te vois en anamorphose jusqu'à une métamorphose
Et de ma prose jaillie des vers pour créer cette osmose
Mon âme prise dans un sauna de vapeurs chloroformes
Mes doigts t'invitent sur la voie de ce qui prend forme
Une poésie faite de mots simple qui ne sauront te dire
Au combien je veux des enfants de toi, les voir grandir
Les entendre t'appeler maman chaque jour de l'année
Mais avant cela, laisse-moi te demander de m'épouser
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Voilà une demande en mariage, très très poétique ! amitiés Louann |
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louann |