Nous mêlons nos encres au vent de l'automne
Lorsque l'été a rendu son tout dernier soupir
Et que notre soleil ne réchauffe plus personne
Le ciel pleure mais voici que nos mots satires
Tandis que nos frêles plumes s'abandonnent
Sous nos doigts, un poème peut enfin s'écrire
Tempête de nos esprits ou réalité de nos écrits
Une plume comme amie et une tendre passion
Dans notre tête, il y a la vie et parfois des cris
Que l'on résume en une envie ou en un nom
Une personne qui nous obsède telle cette poésie
Un être à qui l'on ne voudrait jamais dire non
Fluctuation des astres et symphonie endiablée
Notre muse est une nature habitée par le froid
Et par des affections jusqu'alors inexpliquées
Telle une ruse qui nous ôterait peu à peu la voie
Nous écrivons sous une pluie de toute beauté
Une beauté que tant d'âmes égarées ne voit pas
Qui se découvre sur les flamboyants feuillages
Aux couleurs orangées ondulant sous la pluie
Et le vent enragé emportant alors les nuages
Qui couvrent l'horizon, la journée, et la nuit
Pour que les rêves rouges deviennent mirages
Dans une fraîche saison où le soleil s'enfuit
REALISé AVEC JULIETTE LA FILLE
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Très beau duo ! amitiés Louann |
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louann |
Bien ! As-tu voulu dire "nos mots satires" ou "nos mots s'attirent" ? |
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Nighty |