une pensée blanchie
une veine par où saigne
l'espoir
tel un cri d'encre
noire
un saut dans le silence
qu'absorbent les flammes
danse
de nuit - macabre -
un désir ténu
de vie
mais
la peur sans ta présence
au-dessus de moi ton souffle
absent
et ces mailles de larmes
qui m'enchainent à toi
au pal de notre amour
sacrifié
C.Pennarun
8 janvier 2011
Écrit par Margot de Broceliande
Il suffit de peu de chose, presque rien : une
syllabe, une consonne et je deviens tempête ; un geste de l'arbre, et cent racines me lient... R. Kowalski Catégorie : Amour
Publié le 30/01/2011
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Commentaires
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Posté le 30/01/2011 à 12:17:15
poignant et touchant | |
angelique |
Posté le 30/01/2011 à 14:52:48
Rien d'actuel dans ce poème, même s'il a été écrit récemment. | |
Margot de Broceliande |
Posté le 30/01/2011 à 16:23:40
Un poème que j'avais aimé, dit dans un souffle haletant, oppressant ! Bises ! |
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Nighty |
Posté le 30/01/2011 à 17:49:17
Les douleurs de l'amour ! Un écrit qui survole cette tristesse de peur de s'y attarder... amicalement Louann |
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louann |
Posté le 30/01/2011 à 19:56:22
très émouvant , amitiés | |
angelique |